Ostal del Lourdou
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Ostal del Lourdou

La maison de la famille Du Lourdou en la cité de Montauban-la-Réformée
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
-28%
Le deal à ne pas rater :
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 couverts – L60cm
279.99 € 390.99 €
Voir le deal

 

 [RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin

Aller en bas 
AuteurMessage
Theodore Du Lourdou
Admin
Theodore Du Lourdou


Messages : 135
Date d'inscription : 09/11/2010
Localisation : Eauze/Armagnac

[RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin Empty
MessageSujet: [RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin   [RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin I_icon_minitimeDim 4 Aoû - 21:42

Betoval a écrit:
Le Vicomte de Monbahus prenait enfin vassal.
Plusieurs années après la promesse de fieffer les volontaires valeureux qui le suivrait en Berry était enfin venu enfin le temps de tenir sa parole.
La perte du titre avait été évidement facteur de retards.

Mieux vaut tard que jamais dit-on.

Il attendait ses invités devant le manoir de Puydauphin assis dans la cour de l’agréable bâtisse de pierre à prendre le soleil de la matinée.

Il avait préféré ce manoir confortable aux murs épais et humides de Monbahus.

Plusieurs de ses employés s'affairaient aux dernier préparatif du repas qui suivrait.
Il vit son intendant et ami traverser la cour.



Aris, tout sera prêt?


Bien sur Betoval, tout sera prêt. La grande salle est prête et vu le temps on à installé des tables au dehors pour le repas. Les cochons cuisent depuis tôt ce matin, bref tout ira bien.



Parfait, alors, comme à ton habitude. Attendons nos invités.

Aristides hocha la tête et disparu dans l'ombre du porche laissant le Vicomte à son attente.

Theodore_du_lourdou a écrit:
C'est une improbable cérémonie qui va se dérouler aujourd'hui. Car tout pourtant a joué pour que jamais elle n'ait lieu. Le temps pour commencer, cela fera bientôt deux ans qu'une promesse fut faite, celle de récompenser le plus méritant des volontaires Guyennois sur les champs de bataille du Ponant. Dans ce monde où la parole a si peu de valeur, quelle promesse peut se targuer d'être respectée deux ans plus tard ? Jamais cette cérémonie n'aurait dû voir le jour, un homme déchu de ses titres ne les retrouves que rarement et pourtant ce fut le cas de celui qui va devenir Suzerain. Enfin, ce fut au tour des querelles politiques d'entraver l'ordre des choses puisque les futurs Suzerain et Vassal se sont opposés dans différents partis, querelles où le mépris et la colère ont remplacé la sympathie et l'amitié entre certains anciens compagnons d'armes. Mais pourtant rien n'y a fait car rien ne saurait entraver la marche irrésistible du Destin. C'est la vision du Pasteur. Il a mérité sa terre et nul ne saurait faire obstacle entre elle et lui et par Dieu tout puissant, gare à ceux qui s'y risqueraient !

Fier. Fier et certain de son mérite. Aujourd'hui plus que tout autre jour il est fier. Pas tant de recevoir un titre qui il faut le reconnaitre est au bas de l'échelle nobiliaire que de la façon dont il l'a gagné. Considérant en effet que gagner une terre à la pointe de l'épée est plus glorieux que de la gagner après s'être abaissé en de multiples courbettes auprès d'un noble quelconque. Cette fierté peut se ressentir dans la manière dont il est vêtu, puisque ce sont de riches vêtements qu'il a sur le dos. Or et noir cependant, la sobriété n'étant jamais éloignée.


Quand enfin le Pasteur et son épouse arrivent à Puydauphin - qui pour les non initiés se trouve au fin fond de la campagne Marmandaise en direction du Périgord -  c'est un Betoval occupé à se détendre devant son manoir qu'ils découvrent. Mettant pieds à terre il aide ensuite son épouse à faire de même puis se dirige vers le futur Suzerain avec un léger sourire aux lèvres.

Betoval ! J'ai bien failli croire que ce jour n'arriverai jamais !

Betoval a écrit:
Le couple du Lourdou arrivait.
Sans doutes les gens les plus droits qu'il connaisse en Guyenne.
Presque parfait ne serait-ce leur égarement en matière de religion.
Mais baste, de nombreux aristotéliciens en odeur de sainteté à Rome étaient nettement moins respectueux des vertus aristotéliciennes que ce deux là.


Le salut à vous deux. Marie, Théodore.

Il les salua.

C'est un honneur de vous recevoir.

Et oui, ce fut long, mais bon, au moins nous savons que nos liens ne sont pas éphémères.


Tenez, entrez, nous attendrons Guyenne à l'intérieur.



Il les guida dans la grande salle.

Des étendards de Monbahus et de Tombeboeuf ornaient la salle.

Il claqua dans ses mains.


Hola à boire!

Un serviteur arriva.

Vous prendrez bien quelque chose pour vous désaltérer des poussières de la route?

Marie_du_lourdou a écrit:
Le grand jour était enfin arrivé, son Theo allait être enfin vassalisé. Marie l'accompagnait et pour ce faire, elle s'était fait une tenue de circonstance « Faut ce qu'il faut » aux mêmes couleurs que celui qui lui avait prit son cœur, il y a bien longtemps de ça. Son amour pour lui était indéfectible. Ils arrivèrent à Puydauphin et ils constatèrent que Betoval les attendait.

Son Theo l'aida à descendre du cheval qu'ils avaient coutume de monter ensemble. Marie adorait sentir les bras puissant de son Theo autour d'elle quand ils chevauchaient sur les chemins. Puis c'est main dans la main qu'ils rejoignirent Betoval qui les attendait dans la cour du manoir. Il les salua et Marie répondit avec le sourire.

Bonjorn Messer Betoval, belle journée en perspective.

Marie se dit, - "surtout faire attention à mon langage et bien articuler. En même temps si je n'ai rien à dire ça m'arrange" -. Betoval les invita à le suivre jusque dan la grande salle du manoir. Marie regarda, avec un regard admiratif, la salle. Elle se demanda si elle ne rêvait pas. C'était magnifique.  Puis Marie attendit la suite des évènements.

Theodore_du_lourdou a écrit:
A la suite de Betoval et avec son épouse il pénètre à son tour dans la grande salle du manoir. Aux murs, les couleurs de Monbahus et Tombeboeuf.
Le plaisir bien que faiblement perceptible sur son visage est bel et bien présent chez le Pasteur.
Cette fois ci plus que jamais il prend conscience qu'il touche au but. Puis, à Betoval :


Ma foi, ce n'est pas de refus en effet. - Avisant son épouse avec un sourire - N'est-ce pas ?
Et vous l'avez dit, cela démontre que ces liens ne sont pas éphémères.
Mais laissez moi vous remercier. D'autres se seraient empressés d'oublier qu'ils avaient fait une promesse.


Un regard à droite, un autre à gauche.

Zoy...Ahem, Guyenne n'est pas là ?

Zoyah a écrit:
Antre Héraldique …

S'il existe  un « rendez-vous » à qui elle aurait très volontiers posé un lapin, c'était bien Betoval.  Après tout, si elle ne servait à rien à quoi bon se déplacer ? Pourtant, il y avait le vassal qui n'avait rien demandé lui. Aussi, elle fut contrainte de motiver ses troupes, à savoir les deux pages qui l'accompagnaient généralement dans le but de devenir un jour peut-être des hérauts eux-même.

Bon.. les  enfants.
Si vos parents vous ont confiés à la Hérauderie, c'est dans l'espoir qu'un jour vous deveniez des officiers royaux. Et parfois, hélas, être héraut peut s'avérer particulièrement douloureux et pénible surtout lorsque ça implique de se rendre là où le vicomte de Monbahus habite.


*Cris d'effrois*

Courage un sourire bienveillant étira ses lèvres pourprées …  promis, nous allons faire vite ! On y va, on dit bonjour, on fait coucou à Théo et Marie, on parle, on écoute, on signe, on donne, on dit merci et on s'en va !

Cha va êkre kro longgggg !
Il est pas chentil le vicomte !


Non, effectivement … c'est un vieux machin mal aimable  mais il y a pire.
De toute façon, plus personne n'y fait vraiment attention.


Et les voilà partis...



Manoir de Puydauphin …

La baronne sauta à terre sans attendre qu'on l'aide  et talonnée par les deux mouflets qui n'en menaient pas large demanda à être annoncée.

Pour ce jour, toute drapée d'une cotte bleu de France que recouvrait le tabard fleurdelisée, les cheveux nattés comme de coutume ce qui associé à ses longs yeux slaves lui conférait parfois un petit air d'esclave tartare telle qu'on pouvait en apercevoir dans les riches demeures Florentine.

Un porte-document reliés de cuir serré contre sa poitrine, elle suivait d'un pas vif le larbin qui semblait faire office de portier. Durant tout le trajet qui la séparait de Betoval, elle s'imagina lui faire subir toutes sortes de tourments, ce qui eut l'effet d’atténuer légèrement sa souffrance psychologique. Puis elle aperçut Marie et Théo et son minois qui jusqu'à présent arborait une vrai mine de bouledogue prit une tournure beaucoup plus aimable.


Le Bonjour …

Derrière elle, les deux pages en livrée royale  saluèrent d'un signe de tête.

Betoval a écrit:
Ah bah, quand on parle du l... de la baronne.

Betoval vit arriver le cortège héraldique sans plaisir. Mais bon, puisqu'il fallait en passer par là.


Mes hommages Guyenne, vous êtes resplendissante comme à votre habitude.
J'espère que le voyage jusqu'ici vous fut agréable.

se tournant vers le désaltéreur.

A boire pour l'équipage de la baronne.

Voilà, là il avait donné en civilité le maximum dont il était capable envers des agents de la corruption parisienne.

Et bien, nous voilà au complet à moins que vous n'ayez des invités?

Comment procédons nous?

Marie_du_lourdou a écrit:
Citation :
Ma foi, ce n'est pas de refus en effet. - Avisant son épouse avec un sourire - N'est-ce pas ?

Marie, totalement subjuguée par la beauté des lieus, ne prêtais guère attention aux bavardages des deux hommes. Aussi fut elle surprise quand son Theo s'adressa à elle et qu'elle se retrouvait avec un verre de vin dans la main.

Hein ? Ah bah voui, ça se  refuse po !

Chassez le naturel il revient au galop. Marie, rougissante, fit un sourire aux deux hommes et plongea le nez dans son verre, ne sachant quoi ajouter. C'est à ce moment là, que Zoyah fit son apparition. Marie lui fit un grand sourire.

Bonjorn Zoyah, comment vas t... Comment allez vous ?

Ne pas oublier le protocole, ne pas oublier le protocole. Marie se répétait sans cesse cette phrase. Elle se rappelait les phrases de son "professeur" - Articulez quand vous parlez et n'oubliez pas le protocole - Marie se dit qu'elle allait éviter d'ouvrir la bouche et surtout réfléchir avant de parler. Marie se contenta d'attendre la suite, restant près de son Theo, espérant qu'il lui prenne la main pour la rassurer sur son comportement, elle ne voulait surtout pas lui faire honte dans un tel moment.

Zoyah a écrit:
L'épreuve des urbanités passées...
Aucun mort, ni aucun blessé à signaler.
Mine de rien, elle posa un œil suspicieux sur le breuvage qu'on lui servit  et si les pages ne s'étaient pas gênés pour vider leurs godets sans laisser apparaître un mal quelconque, elle aurait presque hésité à y tremper ses lèvres.
Une main liliale se pose sur le poignet de Marie qui prend des nouvelles avant de se pencher vers elle
Plutôt en forme, même si les va et viens entre la Guyenne et le Poitou commencent à peser. Elle n'en dit pas plus, elle n'était pas là pour ça.

Début des hostilités... qui fait quoi.
Cela se passe comme lors des allégeances mais en plus étoffé.
Parfois, on me demande de faire un bref rappel de ce à quoi s'engage le vassal.
Vous pouvez faire un discours, dire ce qui vous amène à prendre le Ser de Lourdou comme vassal, ce que vous attendez de lui ou faire plus concis et directement lui demander s'il souhaite le devenir.
Ensuite
regard en direction de Théo .. s'il accepte, il devra vous jurer " aide et service armé (auxilium), conseil (consilium) ainsi que la fidélité (obsequium)" et en retour vous lui promettrez : " justice, protection et subsistance." Il arrive aussi que le suzerain remette un présent qui symbolise le fief à son vassal... voir l'inverse.
Zoyah n'évoqua pas les pactes de sang et autres originalités dont elle avait entendu parler, tellement ça lui semblait être loin des habitudes de la maison.

Une fois l'échange fait, je signe et scelle le contreseing, remets ses armes au Ser de Lourdou et cela en est terminé, je vous laisserai ensuite à vos réjouissances. .. il ne faudra pas que le vicomte ait une indigestion, il serait encore plus détestable que d'habitude.

Un sourcil interrogateur se arque légèrement, le héraut attend de connaître les désidératas du suzerain.

Betoval a écrit:
Et bien très bien alors.

Installons nous dans la grande salle sous les armes des fiefs concernés.


La maisonnée avait arrêté ses activités pour se rassembler dans la salle pour regarder la cérémonie.


Pour commencer, en effet, j'ai quelque chose à dire.

Pour certains, c'est honorer un seigneur que de le prendre pour vassal, ici c'est bien le suzerain qui est honoré de prendre Théodore du Lourdou pour vassal.
Théodore vous êtes un homme droit, et je sais qu'en toutes circonstances je pourrais compter sur vous. Et qui plus est, je sais qu'en toutes circonstance votre épouse vous soutiendra avec toutes ses nombreuses qualités
C'est un réel bienfait qui sera donné à ma maison si d'aventure vous acceptez de devenir mon vassal. L'acceptez vous?


Il regarde Théodore en attente de sa réponse.

Theodore_du_lourdou a écrit:
Ravie de vous voir Guyenne. Avait-il dit sincèrement.
Puis du temps que le futur Suzerain et le Héraut s'entretenaient sur le déroulement de la cérémonie, lui en profita pour se désaltérer quelque peu et déposer un furtif baiser sur la main de son épouse qui jusqu'à présent et ce malgré ses habitudes tenait plutôt bien son rang.

Soudain, tout s'accélère. Voilà que Betoval - après avoir fait installé tout le monde dans la grande salle - fait son éloge et dans la foulée lui pose la fatidique question. S'il avait été un autre homme, il est probable que pris au dépourvu par la rapidité de l'attaque et sous le flot de l'émotion il n'aurait sût quoi dire.


Au ciel et sur la terre je n'aurai jamais qu'un seul maître, Dieu. Car sur terre Betoval vous n'êtes pas un maître, mais un ami. Puisqu'il est peu d'Hommes qui tiennent leur parole si longtemps et après tant d'épreuves sachez que pour vous je serai un ami dévoué. C'est pourquoi j'accepte de devenir votre Vassal et en conséquence de quoi - Et parce qu'un peu de théâtralité ne fait jamais de mal, Théodore pose un genoux à terre face à Betoval - Je vous jure aide et service armé, l'auxilium, conseil, le consilium et fidélité, l'obsequium.

Attendant la réponse de Betoval, voila qu'il en avait presque oublié le monde tout autour.

Marie_du_lourdou a écrit:
Et voilà on y était. Le grand moment tant attendu était enfin arrivé. Le baiser de son Theo sur sa main, lui conféra de l'assurance pour sa tenue vis à vis de la cérémonie qui se déroulait.
Elle avait suivit  les trois  protagoniste de l'histoire dans une grande salle où elle se sentit bien petite. Marie resta droite comme un i n'osant pratiquement pas respirer afin de ne rien perturber de ce moment solennel.
Un sourire apparu sur ses lèvres quand Betoval fit son discours, puis elle regarda son Theo quand il posa un genou à terre pour jurer de sa fidélité à son suzerain. Les larmes lui montèrent aux yeux, non pas de chagrin mais de bonheur car enfin son Theo était reconnu pour ses mérites. Dire qu'elle était fière de lui était faible. La fierté qu'elle ressentit à ce moment là dépassait l'entendement. Pour elle, il n'avait aucun défaut, il était le meilleur et il l'avait choisi elle pour épouse et ça elle en remerciait Dieu chaque jour. "Theodore" voulant dire "le Don de Dieu" Marie ne pouvait que le remercier de lui avoir fait ce don. Elle regarda son Theo avec tout l'amour qu'elle lui portait, restant attentive à la suite de la cérémonie.

Betoval a écrit:
...aide et service armé, l'auxilium, conseil, le consilium et fidélité, l'obsequium.

Voilà, c'était fait, enfin.

Mon cher ami, je vous jure en retours justice, protection et subsistance.


Il lui fait une accolade visiblement ému.
Puis il prend la hampe de l'étendard de Tombeboeuf et la tend à Théodore.

Vous voilà seigneur de Tombeboeuf, puisse ce titre vous apporter tous les bienfaits possibles.


Zoyah a écrit:
Les cérémonies d’anoblissement, bien que rarement dissemblables, apportaient toutes une nouveauté. Jusqu’à présent, les nobles la laissaient prendre en main la cérémonie, ce qui, il faut l’avouer, l’agaçait fortement dans le sens où ce n’est pas elle qui anoblissait et que son rôle devait se borner à veiller au bon déroulement et être témoin. Et c'est visiblement ce qu'on attendait d'elle ici. Tant mieux. Ici, elle se fit donc discrète durant l’hommage en se tenant légèrement en retrait afin de ne pas perturber l’échange entre les deux hommes.  Un des pages faisait chauffer la cire et lorsque le vicomte tendit l’oriflamme à Théo, elle parapha et scella les actes pré-rédigés et armoriés. Après un court moment, le temps aux protagonistes de se congratuler et elle daigna s’avancer afin de prendre la parole tandis qu’il était remis au nouveau seigneur ses armes.

Félicitation Ser du Lourdou et bienvenue dans la noblesse de Guyenne ... se piquant d’un fin sourire.Puissiez-vous faire fructifiez ces terres qui vous sont échues.

Comme de coutume, elle procéda à la lecture du contreseing avant d’un remettre un à Théo et un au vicomte. Elle conserva pour elle celui qui rejoindra le livre terrier de Monbahus en bibliothèque héraldique.

Citation :


    Nous, Zoyah Aurel-Novotny, Baronne de Valençay & Dame d'Arpheuilles, Héraut d'Armes de Guyenne


    ...................[RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin A10tous, présents & à venir, Salut,


    ....... Avons pris connaissance de la demande de Monseigneur Betoval, vicomte de Monbahus, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur ses terres vicomtales de Monbahus sise sur le fief nommé Tombeboeuf, consistant en un village castral, un castrum et dépendances, à Ser Théodore du Lourdou [ig : Theodore_Du_Lourdou]

    .......Après recherches héraldiques dument entérinées et en fonction des sources (actes notariés, livres terriers, pouillés) à notre disposition au moment de la demande, le fief de Tombeboeuf est érigée en  seigneurie de Monbahus.


      .......Il portera dorénavant : « D'argent au lion passant de gueules et au chef d'azur chargé de trois chausse-trappes d'or.» soit, après dessin :


      .........................[RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin Monbah10.......[RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin Monbah12.......[RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin Monbah11




    .......Ci-dessous, une lettre manuscrite attestant de la volonté de Monseigneur Betoval, quant à l'octroi d'une seigneurie à Ser  Théodore du Lourdou :

    Citation :
    De Betoval, Vicomte de Monbahus
    à Guyenne.

    Ai décidé d'octroyer la seigneurie de Tombeboeuf sise en mes terre au sieur Théodore du Lourdou pour en faire mon vassal en tant que Seigneur de ce fief.

    La cérémonie d’octroi aura lieu au manoir de Puydauphin le vingt-sixième jour du mois de Mai.

    Pour valoir ce que de droit.

    Fait le vingt-quatrième jour du moi de Mai.


    .......Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous certifions, avoir été le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l'octroyant et l'octroyé.

    Faict, le vingt-sixième jour de mai de l'an de grâce MCDLXI, sous le règne d'Eusaias de Blanc-Combaz, Roy de France.

    [RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin Si10
    [RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin Sceauz10




Voilà...
Son office était fait, elle pouvait désormais se retirer.

Theodore_du_lourdou a écrit:
C'est au moment précis de l'accolade, entre deux tapes viriles dans le dos de Betoval qu'enfin il prend conscience qu'il est désormais Seigneur d'une terre et noble de par ce fait.
La joie est immense quand il se saisit de l’oriflamme tendu par Betoval puis quand la baronne lui remet le contreseing après en avoir fait la lecture.


Betoval, merci. Dans l'optique d'être votre ami dévoué, nous aurons beaucoup de choses à nous dire.

A Zoyah avant qu'elle ne parte de ce qui très certainement pour elle devait être l'antre du Sans Nom.

Merci pour votre office. A vous aussi j'aurais beaucoup de demandes à vous formuler.

Puis c'est enfin vers son épouse qu'il se retourne, le sourire aux lèvres, pour venir lui donner un délicat baiser après avoir pris le soin d’essuyer quelques unes de ses larmes.

Bien, il faut maintenant fêter cela n'est-ce pas ?

Marie_du_lourdou a écrit:
Et voilà c'était fini. Son Theo était le Seigneur de Tombeboeuf désormais. Marie sourit, se souvenant de leurs discussions sur le choix du fief et de leurs fous-rire. Ensuite le choix du blason ainsi que le cri de ralliement. cela avait été assez rigolo, entre le "A l'attaaaaaque" qu'elle avait proposé et d'autres encore plus loufoques les uns que les autres. Finalement la sagesse de son Theo avait été payante et il avait trouvé sa devise.

Tandis que son Theo discutait avec Betoval et Zoyah, Marie ressassait ces souvenirs. Quelques larmes étaient restées accrochées à ses joues et quand son Theo se dirigea vers elle, il les essuya et lui donna un doux baiser. Marie y répondit avec la même délicatesse, n'osant lui sauter au cou comme elle aurait pu le faire en temps normal.


Citation :
Bien, il faut maintenant fêter cela n'est-ce pas ?

Marie lui fit un grand sourire car quand son Theo parlait de faire la fête, elle savait de quoi il parlait. Alors avec un grand sourire, elle lui répondit.

Tu sais bien que  je suis toujours partante pour une petite fête.

Puis tout bas afin que personne n'entende.

Faut peut être faire honneur au buffet avant de se sauver non  ?

Marie sourit malicieusement à son Theo.

Betoval a écrit:
Et bien voilà, c'est fait.

Nous accompagnez-vous dans notre repas Guyenne? Ce serait un plaisir de vous avoir vous et votre équipage bien sur.

quel hypocrite  sur ce coup.


Si la dame et le messire de Tombeboeuf veulent bien partager ma table.
Venez discutons en devant un repas.
Votre fief n'est pas bien loin, vous aurez tout loisir ensuite de vous installer.



Leur indique la sortie arrière donnant sur l'étang ou sont dressées quelques tables bien garnies.
Revenir en haut Aller en bas
https://ostal-del-lourdou.forumgratuit.org
 
[RP] Ceremonie d'octroi à Puydauphin
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ostal del Lourdou :: Zone TEST :: TEST AGAIN !-
Sauter vers: